Elle est la confédération par qui le scandale est arrivé et le plus souvent citée dans les documents rassemblés par la justice américaine contre la Fédération internationale de football (FIFA). Pourtant, la Concacaf, Confédération d’Amérique du nord, centrale et Caraïbes, se permet aujourd’hui de bomber le torse après la démission de Sepp Blatter de la présidence de la FIFA. Nous sommes à un moment important pour le jeu, un moment que nous ne devons pas gâcher, a réagi Alfredo Hawit, président de la Concacaf, faisant savoir que la Confédération se tenait prête pour aider au processus de reconstruction de la FIFA de façon que cela renforce le jeu pour de nombreuses années à venir.