Dans le cadre de son offre publique d’achat, PPR a assuré aux actionnaires de Puma le 12 avril qu’il n’avait pas l’intention de proposer plus de 330 euros l’action. 330 euros l’action, c’est plus qu’équitable. Nous n’irons pas au-delà a déclaré François-Henri Pinault, le PDG du groupe de distribution et de luxe qui détient désormais 27,1% du capital de la multinationale bavaroise. PPR ne souhaite en effet pas dépenser plus de 5,3 milliards d’euros pour s’emparer de l’ensemble du capital de Puma. Les dirigeants français sont confiants et affirment ne pas craindre une contre-offre d’opérateurs du secteur ou d’investisseurs étrangers.
Au 12 avril, les hypothèses de surenchère de PPR et de contre-offres pesant sur l’offre publique d’achat, la valeur de l’action de Puma à la Bourse de Francfort cédait 2,74% à la clôture (340,80 euros). Le titre PPR a également reculé de 1,32% (128,58 euros).