Interrogé dans les colonnes du Parisien, Jean-Claude Blanc, le directeur général adjoint du PSG, est revenu sur les travaux de modernisation que le club va engager au Parc des Princes, qu’il occupera pour les trente prochaines années après signature de la convention avec la Ville de Paris mardi. L’une des conditions acceptées par les dirigeants parisiens pour cette convention est que le Parc des Princes ne devra pas changer de nom. Ce qui n’exclut pas la possibilité du naming pour augmenter les revenus du club. Comme nous partons sur une durée longue (trente ans), nous sommes obligés didentifier les possibles revenus que peut générer lenceinte. Le naming en fait partie. Cest un principe très développé en Allemagne, assez développé en Angleterre et à ses débuts en France. Un double garde-fou est prévu : le nom Parc des Princes sera maintenu. Cest une obligation que nous avons volontiers acceptée. Le Conseil de Paris est ensuite souverain pour juger de la pertinence du secteur dactivité représenté par léventuel sponsor qui viendrait accoler son nom, a expliqué Blanc au sujet de ce naming masqué.