Pas de visite et pas d’espagnol

Malgré l’insistance des caciques du Comité international olympique (CIO), l’interdiction faite aux membres de l’institution de se rendre en visite d’information dans les villes candidates à l’organisation des Jeux est maintenue. Ces visites avaient été interdites il y a trois ans après le scandale de corruption qui avait fortement ébranlé le CIO. L’interdiction ne signifie pas qu’il y ait un soupçon a affirmé le président du CIO, Jacques Rogge. La première raison qui nous a conduits à maintenir l’interdiction des visites est d’abord qu’elles sont inutiles depuis la mise en place d’une commission d’évaluation des candidatures dont la mission est justement de se rendre sur le terrain très officiellement et d’informer l’ensemble des membres du CIO. La deuxième raison est que les villes candidates elles mêmes considèrent ces visites comme inutiles, le coût de chacune d’entre elles étant estimé à deux millions de dollars.

Le CIO a également décidé de repousser l’introduction de l’espagnol comme troisième langue olympique officielle après l’anglais et le français.

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