Aucune sanction contre les accusés

Le Comité international olympique (CIO) se contente de pointer du doigt quelques responsables de comités nationaux grec, maltais, lituanien et serbe après son enquête sur la revente au marché noir de billets des JO de Londres.

Ces trafics de billets avaient été mis au jour par le journal britannique The Sunday Times.

Selon la commission d’éthique du CIO, six personnes sont accusées de n’avoir pas respecté le code de conduite du CIO, voire d’avoir terni la réputation du mouvement olympique: le président du Comité olympique grec, Spyros Capralos, sa responsable du marketing, Nicole Avramidou, le secrétaire général du Comité lituanien Vytautas Zubernis, le président du Comité maltais Lino Farrugia et son secrétaire général, Joe Cassar, et le président du Comité serbe Djordje Visacki. Mais celles-ci ne peuvent pas être sanctionnées. ‘étendue de la compétence du code d’éthique du CIO permet au CIO de prendre des actions contre un comité national olympique en tant qu’organe, mais, pour des raisons légales, pas contre les personnes elles-mêmes, explique le président du CIO Jacques Rogge.

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